jeudi 4 décembre 2008

Le Chocaprisme

C'est décidé, je fonde mon propre mouvement de penser, que j'ai nommé temporairement (dans l'attente d'un titre plus accrocheur) le Chocaprisme. Je serais certainement de cet instant précis et jusqu'à la fin des temps le seul membre de ce mouvement mais qu'importe, j'ai des fondements à construire le temps presse!

I.Nous ne sommes rien de plus qu'un tas d'os et d'organes bien emballés dans de la peau, le cerveau est un organe comme un autre. Tout ce que tu estimes en tant que présent à ta conscience ou ton inconscient, n'est que le fruit de signaux électrique et de concentration sanguine à l'instar de la merde que produit ton intestin et rien de plus.

II. La conscience et l'inconscient et pour ainsi dire tout leur décryptage effectué par les philosophes, ne sont que la description dérisoire du circuit imprimé de cet organe qui forme le fantasme de notre surestime, j'ai nommé le cerveau.

III. Inutile si vous avez intégré les deux premiers principes de vous précisez que la volonté, les sentiments, la pensé, le bien, le mal, tout ce que tu peux voir, croire, les sensations et toutes ces conneries (:produit du con, de l'anus supposant donc un excrément) ne sont que le résultat des réactions organique.


Je comprends très bien que tout cela n'est pas facile à s'avouer, j'avais du mal à le reconnaitre moi même mais je peux toujours tenter de te le faire comprendre par un exemple simple et concret:

les acides de ton estomac qui s'activent pendant ta digestion et font augmenter légèrement ta température corporelle ne sont ni intelligents, ni possédant une quelconque volonté, et ben ton cerveau et le flux sanguin qui active ce que tu crois tes pensés c'est pareil.

L'homme c'est toujours demandé pourquoi il était conscient, un privilégié doté d'intelligence, la réponse était pourtant simple, l'homme n'est pas intelligent, encore moins privilégié et accidentellement non pas conscient mais en proie à tout les signaux électrique que son organe cérébrale diffuse sans volonté mais malgré lui, comme les acides de l'estomac.

La diversité de ces signaux à amener le cours d'autre signaux à certain comportement du corps de l'animal humain allant même jusqu'à pensé qu'il est conscient, pensant, s'imaginant même à lui même qu'il était au cœur de la raison de l'univers et d'un divin destin que je cite "Dieu"lui avait offert (et je vous passe l'histoire de la pomme qui tourne vraiment au ridicule).

L'histoire de l'animal humain, est vraiment ce qu'il pourrait penser comme la plus pitoyable existence, étant donné qu'il croit vivre et penser, même si le concept de pitoyable n'a pas vraiment lieu d'exister en dehors de ses propres divagations organiques.

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